Journée sécurité routière à Blanzy

Dans le cadre des journées proposées par le Sécurité Routière, la commune de Blanzy, les pompiers, les Intervenants Sécurité Routière et les enseignants ont proposé des ateliers à 160 élèves de CM1 CM2 des trois écoles du secteur.

Parcours de maniabilité : réaliser un parcours à vélo, tourner, freiner, passer des obstacles, contourner, et récupérer un objet d’une seule main, en roulant.

Jeux d’éducation à la sécurité routière.

En présence du Sous-Préfet d’Autun, monsieur Marc MAKHLOUF et des élus de la commune.

Les équipements indispensables du vélo et un point sur les trottinettes.

 

 

 

Sécurité dans les bus, les angles morts. On montre aux enfants dans le bus, les problèmes de visibilité du chauffeur.

Porter secours, les premiers gestes à connaître.

La journée s’est clôturée par un goûter offert aux enfants.

30 minutes d’activités physiques quotidiennes

Le ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, en collaboration avec le Comité d’organisation des jeux olympiques et paralympiques Paris 2024 lance un appel à manifestation d’intérêt à destination des écoles élémentaires pour promouvoir « 30 minutes d’activité physique par jour ».

Appel à manifestation d’intérêt : Télécharger le document 

Être en bonne santé est une condition préalable fondamentale pour bien apprendre. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la démarche École promotrice de santé qui fédère toute action éducative et tout projet pédagogique de promotion de la santé dans le projet d’école.

Pour le comité d’organisation des Jeux olympiques (COJO) Paris 2024, elle participe du programme Génération2024 et favorise le développement des capacités motrices et des aptitudes physiques des enfants, et contribue ainsi à leur donner envie de découvrir les disciplines olympiques et paralympiques.

Mise en œuvre

Distinct de l’enseignement de l’éducation physique et sportive (EPS), cet appel à manifestation d’intérêt vise à susciter un mouvement d’adhésion autour d’un objectif partagé au service du bien-être des élèves et de leur santé, et au bénéfice de leurs apprentissages.

Les formes que peuvent prendre les « 30 minutes d’activité physique quotidienne », sont variées et doivent être adaptées au contexte de chaque école. Elles peuvent être fractionnées et combinées sur les différents temps scolaires, mais aussi périscolaires. Les temps de récréation peuvent aussi être investis pour amener les enfants à se dépenser davantage et lutter contre la sédentarité avec des pratiques ludiques.

L’activité physique quotidienne doit s’appuyer sur l’environnement existant. Une tenue sportive n’est pas nécessaire, la cour d’école, les locaux scolaires et les abords de l’école seront utilisés en priorité. Tous les acteurs de la communauté éducative (enseignants, éducateurs, famille, municipalité, associations partenaires dont notamment l’USEP et l’UGSEL, clubs sportifs, etc.) peuvent être impliqués dans la définition d’un projet qui s’intégrera au projet d’école. Il est préconisé de développer 30 minutes d’activité physique les jours où il n’y a pas d’enseignement d’EPS programmé.

L’activité physique quotidienne doit s’appuyer sur l’environnement existant. Une tenue sportive n’est pas nécessaire, la cour d’école, les locaux scolaires et les abords de l’école seront utilisés en priorité. Tous les acteurs de la communauté éducative (enseignants, éducateurs, famille, municipalité, associations partenaires dont notamment l’USEP et l’UGSEL, clubs sportifs, etc.) peuvent être impliqués dans la définition d’un projet qui s’intégrera au projet d’école. Il est préconisé de développer 30 minutes d’activité physique les jours où il n’y a pas d’enseignement d’EPS programmé.

Cet appel à manifestation d’intérêt est un cadre souple basé sur le volontariat. Il ne vise pas à imposer à l’ensemble des écoles un modèle uniforme ou contraignant, mais à proposer des pistes, des outils et des exemples.

Savoir Rouler à Vélo – Mise en place du Comité de Pilotage

Téléchargez la présentation complèteCette première réunion de COPIL a réuni l’Education Nationale (DSDEN 71), la Préfecture (DDT sécurité routière), Jeunesse et Sports, l’ USEP, le Comité départemental de cyclisme, Prévention MAIF, la MGEN, et les associations adhérentes à la Fédération des Usagers de la Biclyclette (FUB), l’Espace PAMA  Chalon et Mines de Rayons du Creusot, ainsi que les 4 enseignants personnes ressources Sécurité Routière.

Étaient excusées l’Association des Maires du 71, l’UNSS et l’UFOLEP qui ont toutes trois assuré vouloir être partie prenante et active du dispositif.

Le triple enjeu du SRAV a été rappelé :

  1. Sécurité : renforcer la pratique du vélo en autonomie sur la voie publique pour les enfants de 6 à 11 ans
  2. Développement des mobilités actives (9% des déplacements à l’horizon des JO Paris 2024 ; lutter contre la sédentarité ; encourager un déplacement économique et écologique)
  3. Développement de la pratique d’activité physique et sportive durable en visant 3 millions de pratiquants supplémentaires d’ici 2024

Avec l’objectif clairement affiché d’amener chaque élève à pratiquer le vélo de manière autonome et en sécurité, pour faciliter la pratique quotidienne de l’activité et de se déplacer de façon écologique et économique.

Pour cela, la volonté départementale de mettre en place les premières compétences du SRAV dès le cycle 1 (maternelle) a été affirmée, en utilisant les moyens de locomotion disponibles dans les écoles et en impulsant une dynamique pour la mise en œuvre pédagogique (voir ici les premières ressources).

3 blocs de formation sont proposés pour acquérir l’ensemble de ces compétences :

  • bloc 1 : savoir pédaler (dès le cycle 1 pour profiter du matériel existant, en proposant des ateliers, aménagements)
  • bloc 2 : savoir circuler
  • bloc 3 : savoir rouler à vélo (voie publique) : aboutissement sous forme de sortie à vélo en travaillant l’autonomie de chaque élève (avec délivrance d’une attestation).

Une Charte territoriale départementale du SRAV sera à construire lors du prochain COPIL :

  • à partir du recueil des acteurs déjà engagés dans le dispositif ou prêts à s’y engager,
  • pour établir un diagnostic partagé,
  • afin de définir des objectifs et engagements dans un schéma de déploiement reproductible localement établi selon un calendrier de mise en œuvre,
  • et qui sera évalué chaque année.

Cette première réunion a également permis une première mise  en réseau des principaux partenaires concernés (Éducation Nationale, Jeunesse et Sports, Collectivités, Préfecture DDT , Mouvement sportif et Usagers de la bicyclette). D’autres partenaires, le comité de cyclotourisme, le réseau des associations périscolaire, les associations locales, les foyers ruraux, les associations de parents d’élèves,… seront contactés pour renforcer le dispositif.

La prochaine réunion aura lieu le jeudi 25 février à 14h

L’E.P.S., c’est 3 heures par semaine

La reconquête des trois heures d’enseignement de l’EPS

Préconisations de l’IGEN et de l’IGAEN « La pratique sportive à l’école primaire »

(rapport 2012 conforté par l’analyse de la baisse des pratiques scolaires EPS dans les rapports suivants)

L’emploi du temps

Les enfants ont tous besoin de récréations et les maîtres doivent donc composer avec les obligations horaires afin de dégager les temps de pause nécessaires. S’il paraît raisonnable de considérer que l’EPS peut apporter sa contribution, il n’est guère acceptable d’en faire une discipline électivement concernée par cette récupération

L’horaire de l’EPS représentant le huitième de l’horaire total et le temps de récréation pouvant être estimé à deux heures hebdomadaires, l’EPS ne devrait contribuer que de 15 minutes hebdomadaires pour les récréations.

Proposition n° 1 :

Vérifier que l’enseignement effectif d’EPS ne soit pas inférieur à 2 h 45 par semaine, en rappelant que cet horaire peut être globalisé afin de mieux surmonter certaines contraintes (notamment météorologiques) et de conduire plus aisément certains projets (natation, par exemple). Lire la suite de l’article L’E.P.S., c’est 3 heures par semaine

Documents d’application Eduscol pour le cycle 2

Éducation physique et sportive – Concevoir et mettre en œuvre un enseignement de l’EPS au cycle 2

Les ressources « Pour démarrer » proposent des aides à la conception d’un projet de cycle, d’un module d’apprentissage et d’une séance d’EPS, ainsi que des exemples illustrés par de nombreuses vidéos de mise en oeuvre de séances. Les différentes rubriques sont accessibles en cliquant sur l’infographie ci-dessous.

Vous pouvez accéder à l’ensemble de ces documents sur le site d’Eduscol

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